jusqu'ou respecter la bible ?

en fait il y a 3 démarches différentes

quoi qu'elle dise elle a raison ... style tue ton fils a Abraham ...ben Abraham va tuer son fils (pour ceux qui savent pas Dieu vas l'en empêcher)

je fais ce que je veux ...style David qui commet adultère assassinat mais dans le style il y a Salomon qui rends un culte aux idole ou Jacob qui vas vers les prostituées

et enfin l'amour règle suprême ... le cas du père du fils prodigue (quoi qu'a fait son fils il l'accueille et il en a fait des transgressions) ou du collecteur a coté du pharisien fier de payer sa dime (il a rien fait de constructif a part aller au temple et se repentir)

qu'en pensez vous ? ... les 3 démarches toujours actuelles ? contradictoires ? complémentaires ? bref votre avis sur cela

Salut guili,
au risque de te faire plaisir dans ton entreprise subversive de dévoiement du message biblique, je vais jouer à ton jeu bien que n'ayant pas la prétention de gagner...
1- Abraham : c'était un gros fanatique dangereux.
2- David : Tuez, vous en serez récompensés.
Salomon : Collectionnez 1.000 et 1 femmes, tout va bien vous êtes un rédacteur biblique... À côté, Jacob est un enfant de coeur...
3- Le père du fils prodigue : tu es injuste avec lui guili, certes, il accueille son fils lors que ce dernier a goûté à toutes sortes de turpitudes mais remarque bien son attitude d'esprit. Il rentre chez son père non pas en réclamant l'amour paternel mais seulement de la pitié, non pas en réclamant un héritage déjà dilapidé mais seulement la plus humble des places de serviteur. Dans ces conditions, quel père n'agirait comme il se doit et n'accepterait de reprendre son fils ?
Quant au collecteur d'impôt, difficile d'imaginer que sa prière sincère ne l'ait poussé à faire le maximum pour rattraper ses injustices passées à la manière de Zaché. Contrastant en cela avec le pharisien imbu de sa personne.
Tu ne peux donc pas prendre les deux exemples du troisième point comme démontrant une sorte de partialité divine dans le récit biblique.
T'as d'la chance bandit, tu peux t'faire les dents sur les deux premiers points... Jusqu'à ce qu'un intervenant vienne replacer tes yeux en face des trous et les miens par là même !!!
Bien à vous tous pour cette nouvelle année,

Crabe a écrit:Salut guili,
au risque de te faire plaisir dans ton entreprise subversive de dévoiement du message biblique, je vais jouer à ton jeu bien que n'ayant pas la prétention de gagner...
1- Abraham : c'était un gros fanatique dangereux.
2- David : Tuez, vous en serez récompensés.
    Salomon : Collectionnez 1.000 et 1 femmes, tout va bien vous êtes un rédacteur biblique... À côté, Jacob est un enfant de coeur...
3- Le père du fils prodigue : tu es injuste avec lui guili, certes, il accueille son fils lors que ce dernier a goûté à toutes sortes de turpitudes mais remarque bien son attitude d'esprit. Il rentre chez son père non pas en réclamant l'amour paternel mais seulement de la pitié, non pas en réclamant un héritage déjà dilapidé mais seulement la plus humble des places de serviteur. Dans ces conditions, quel père n'agirait comme il se doit et n'accepterait de reprendre son fils ?
Quant au collecteur d'impôt, difficile d'imaginer que sa prière sincère ne l'ait poussé à faire le maximum pour rattraper ses injustices passées à la manière de Zaché. Contrastant en cela avec le pharisien imbu de sa personne.
Tu ne peux donc pas prendre les deux exemples du troisième point comme démontrant une sorte de partialité divine dans le récit biblique.
T'as d'la chance bandit, tu peux t'faire les dents sur les deux premiers points... Jusqu'à ce qu'un intervenant vienne replacer tes yeux en face des trous et les miens par là même !!!
Bien à vous tous pour cette nouvelle année,

pour le fils prodigue le père ne fait pas dans la pitié ...il coure vers lui dés qu'il le vois et organise une super teuf immédiatement ...j'appelle pas cela avoir pitié de quelqu'un ... le reste de tes arguments c'est des interprétation plus ou moins douteuse du même genre ...sauf que c'est pas mon questionnement ... je pose un constat que tu remet en doute et je me questionne sur l'actualité de ce constat

l'important c'est pas le constat ...il est incontestable ... libre a toi de voir Abraham comme un fanatique c'est absolument pas le problème ... c'est cette vision de la bible existe et quel est son actualité aujourd'hui

Bonjour guili,
je sais bien que tu es handicapé et que ta volonté est donc altérée ... Mais peux-tu faire des phrases en français s'il-te-plaît ?
Il est très désagréable de devoir traduire avant de comprendre... Dans ces conditions, il est vrai qu'il est difficile d'avoir des échanges fructueux, à moins qu'il ne s'agisse d'un habile moyen pour avoir l'air !!?
Je ne crois pas non, je pense juste que tu manques juste assez d'égards envers tes interlocuteurs pour faire l'effort d'écrire autrement qu'avec tes pieds...
Bonne journée

Bonjour guy lee, Crabe et tous,

Les questions de guy lee sont légitimes. Godet y répond de sa conférence apologétique sur la sainteté de l'Ancien testament.

Dieu ne joue-t-il pas, dès le commencement de l’histoire juive, un rôle
indigne de lui ? N’est-il pas un être partial, quand il se choisit un peuple
qu’il favorise aux dépends de tous les autres ? Ne se fait-il pas ensuite,
dans le cours de cette histoire, le patron du vice chez ses élus : du mensonge,
chez Abraham et Jacob ; de l’impureté, chez Juda, Rahab, David,
Salomon, et tant d’autres ; de la cruauté dans le massacre des Cananéens,
le meurtre de Sisera, le châtiment des enfants de Samarie ? Non seulement
il tolère ces crimes ; parfois il les ordonne ; toujours il bénit ceux qui les
commettent.

Ce n’est donc pas, vous le voyez, par impiété que l’on proteste contre
le Dieu de l’Ancien Testament ; c’est plutôt par piété : on désire déchirer
le masque difforme dont la vraie figure de Dieu est recouverte dans ce
livre, pour rendre à nos enfants le Dieu saint et bon que proclament la
conscience, la raison et même, ajouterait-on peut-être, on ne l’a pas dit,
mais je suis prêt à le supposer, l’Evangile.

Comme le Dieu que nous voulons est aussi celui de la conscience et
de la raison, en même temps que celui de l’Evangile, il ne reste ici qu’une
question de fait. Reprenons donc les faits et examinons. La conduite de
Dieu, dont l’Ancien Testament nous trace le tableau, est-elle réellement
contraire à la conscience, à la saine raison et à l’Evangile ?

Ah ben oui, les questions de guili sont légitimes tant qu'elles sont pertinentes, dans la mesure où elles ne procèdent pas d'une réflexion digne d'un cours de français de sixième adaptée...
Mais ne vous inquiétez pas, ça ne fait que m'amuser, certainement pas remettre en question ma compréhension personnelle. Tout ceci n'est qu'un jeu pour moi et comme de temps en temps j'ai un trou dans mon emploi du temps je viens voir ce qu'il se passe ici, rien de plus...
Bonne journée

Bonjour à tous,

Précisons que ses questions sont légitimes pour quelqu'un qui connaît peu les Ecritures.

Sur David,

David ! Salomon ! Autres sujets de scandale. Ils pèchent, il est vrai, l’un
et l’autre, et de la manière la plus grave. Mais avez-vous oublié ce mot terrible,
que le prophète Nathan adresse de la part de Dieu à David coupable :
« Tu es cet homme-là ! » mot qui ne signifie rien moins, dans ce moment-là,
que : Tu es un homme mort! Oubliez-vous que cette sentence, n’est retirée
que quand David s’écrie du plus profond de son âme : « J’ai péché ! »
et ne l’est que pour être commuée en une sentence de mort sur l’enfant,
fruit de l’adultère ? Oubliez-vous ce mot de Nathan : « Parce que tu as méprisé
la parole de l’Eternel en faisant ce qui lui déplaît, que tu as enlevé
la femme d’Urie, et que tu l’as fait mourir par l’épée des enfants de Hammon,
l’épée ne sortira pas de ta maison. » Seriez-vous seul à n’avoir pas
lu ce Psaume 51, dans lequel David a fait solennellement pénitence devant
tout son peuple et poussé sur sa faute un cri de douleur, qui retentit
encore à travers les siècles ? Ah ! la sainteté de Dieu, bien loin de se voiler,
elle éclate radieuse dans cette affaire, tellement que David lui-même
lui rend humblement hommage, en disant, au moment où elle le frappe le
plus rigoureusement : « De sorte que tu seras reconnu juste dans tes paroles
(c’est-à-dire : dans tous les reproches que tu m’adresses) et trouvé
pur quand tu me jugeras. »